Ceci est un RP Flashback en l'an 127 de l'ère de twilight.
Franchement ! Comment avait-elle pus se faire avoir autant ! Sa fuite c’était bien passée, aussi bien que prévue ce qui était déjà vraiment pas mal mais, dépenser tout ce qui lui restait pour ses fioles de jus de crevetolla ! C’était stupide. La créature qui les lui avait vendus l’avait totalement embobiné. Pourtant elle aurait dû le voir venir avec ses belles paroles, sa chanson et tout l’tintouin ! Elle s’en voulait tellement, d’être si naïve et stupide. Voilà qu’elle était de retour dans cette maudite ville ou son oncle et ses hommes faisaient souvent escale et elle priait de ne pas les y croiser. Fallait qu’elle se refasse et vite. Lui fallait du pognon, seulement, si elle se faisait choper en train de voler, dans une si grande ville… Elle serait à la merci de gens au moins aussi effrayants que le poney lui servant de tuteur légal.
Arpentant les rues, trainant une vieille carriole à foin sur deux roues, boitant à ne plus en pouvoir, au moins elle ne c’était pas fait avoir sur un point, les crevetolla étaient en sacrés stocks cependant : de la crevette au chocllat ca n’allait pas se garder longtemps ! Aussi bon que ce puisse être et elle n‘arriverait jamais à tout manger même si elle y avait cru un instant. Passant par les rues marchandes elle sentit un type sur deux pattes à l’allure louche et puant le mauvais coup peu assuré. Ca elle pouvait le sentir à des kilomètres. Le trouver du regard ne fut qu’un jeu d’enfant, peut-être par ennuis, la ponette leva la patte « On vous vole m’sieur l’marchand ! » l’hôpital qui s’fou d’la charité quand on pense au mode de vie qu’empruntait Lunar. Le marchand l’entendit malgré le bruit ambiant, probablement un détecteur du mot vol dans l’oreille du vend de mélasse. Après avoir mis une beigne au malandrin, il lançât à la ponette un merci, suivit d’un j’sais pas comment te remercier.’’ L’affaire ayant attiré l’attention de quelques personnes, notamment avec un garde qui faisait une ronde et en train de menotter le voleur.
La violette eut comme un éclair de lucidité à ce moment, c’était biensur ! Elle lança un rapide coup d’œil vers le garde et le voleur qui commençaient à s’éloigner puis pris un air un peu satisfait « Oh ‘savez, j’ai aucun mérite ! C’est la potion d’lucidité qui m’à permis d’voir cet énergumène avant qu’il commette cet horrible crime ! » Voilà, les gens qui écoutaient d’une oreille distraite, le marchand et ceux qui commençaient a se détourner étaient toute ouïes. Elle s’approcha de l’oreille du marchand et lui demanda permission d’utiliser la surface de table libre sur son stand. Il fit oui de la tête. Un autre chuchotement à un autre, un poney cette fois-ci, qui jouait de la musique, lui demandant un air bien précis qu’elle avait déjà pas mal entendue à bord même s’il manquerait quelques instruments puis elle bondit sur la table. Le reste de la mélodie elle tacherait de la faire en tapant en rythme des sabots arrière tandis qu’elle ferait de grands gestes des pattes avant. Malgré sa canne boiteuse, douloureuse, elle devait faire fit de ca et puis, elle était sur scène et même si son idée n’était pas un tour de magie, elle s’inspirerait de celui qui ‘lavait arnaquée un peu plus tôt. Oui, elle allait chanter !
Mes amis, Mes amiiiis venez donc Ici tout dsuite ! Allez-y, vous n’le r’grettereeez clair’ment pas ! Mes amis ! Vous pensieeez donc que vos bourses, étaient eeeen sécuritééé ? Oh non Oh non quelle erreur ! Les rues sont bien trop dang’reuses !
0 :35 Et les rencontres sont hasardeuses ! Oh lala si vous saviez ! Vous avez tous été témoins d’ça ! Tous été l’observateur ! OHLALA MAIS OU SONT PASSEEES MES PRECIEUX PETITS ECUUUS ??? LE VOLEUR PERSONNE NE L’AS DONC MEME APERCU ?! Ils sont de-fi-ni-ti-vment di-spa-ruuuus !
[A cet instant la ponette se mit à danser en se concentrant un peu plus sur le rythme de ses sabots avec la mélodie, c'était plaisant, d'être sur scène pour autre chose que de la magie qui rate. Si l'on oubliait le stress de devoir réussir à vite vendre ses jus pour pouvoir se casser d'ici avant que son oncle ne la retrouve aussi pouvait-on sentir qu'elle jouait sa vie sur ce grand spectacle improvisé!]
1 :07 Mes amis ! Z’imaginez pas à quel point C’est vot’ jour de chance ! Avec moi y’a une potion d’merveilleuse clairvoyance ! Ma caution d’garantit c’est ce fidèle p’tit marchand ! Et en plus elle coute que quatre sous !
Oh biensur, ca aurait pus continuer, mais, quatre sous, une preuve flagrante que ca fonctionne, une audimat ayant tous déjà comme l‘envie de s’y risquer, ouai, la ponette était à son premier gros coup, le début des emmerdes ? Possible ? En tous les cas elle utilisa sans honte le stand emprunter pour vendre les fioles de potion merveilleuse, son plan serait donc une fois cela fait de filer au plus vite possible vers la gare et ne plus jamais refoutre un sabot par ici !
Elle était d’ailleurs assez fier de sa chanson improvisée, dont le terme d’amis qu’elle utilisait uniquement pour amadouer les spectateurs qui n’étaient pas a majorité de poney s, sinon elle aurait employer le terme de poneys. La symbolique du mot lui était obscure mais elle savait que les gens y étaient fragiles.
Ceci est un RP Flashback en l'an 127 de l'ère de twilight.
Breeze revenait d'Aquaria et aurait énormément apprécier continué son voyage cependant après la croisière qu'elle avait fait en direction de pays des seaponey elle avait perdu l'ensemble de son argent.
Devoir travailler n'était pas vraiment un problème pour la demoiselle car elle avait fait cela à Noctis c'était plutôt que cette fois-ci elle n'avait rien prévu à l'avance et qu'elle n'avait même pas de quoi séjourner dans une auberge ou un hotel. La semaine avait donc été compliquée pour la jeune pégase. Elle avait du trouver des solutions rapidement pour éviter de dormir sur un cartons dans une ruelle ou de passé ses nuits avec sa couverture sur un nuage.
Au final en discutant avec différents poneys elle avait réussi tant bien que mal à trouver une solution mais ça allait retardé grandement son voyage. En effet, la jeune breeze avait réussi à convaincre son propriétaire d'avoir un petit appartement étudiant, ce qui lui donnait des loyer assez réduit, néanmoins pour y avoir accès il fallait être étudiant ce qui n'était pas vraiment le cas de la ponette même si elle avait le bon age pour y avoir droit.
La jeune voyageuse avait donc ensuite du trouver une formation assez courte comme étudiante pour y avoir accès et elle fini par trouver une cours de cuisine qui devait duré 6 mois avec l'avantage de travailler plusieurs jours semaine pendant les cours théorique. Elle avait en faisant des sabots et avec un regard triste mais honnête réussi à convaincre son professeur principale de l'employé dans son restaurant.
Après avoir régler tout les problèmes d'être étudiante elle avait réussi à convaincre le propriétaire en lui montrant le contract, le salaire futur et ainsi que d'autres bricoles qu'elle aurait les moyens de payer si elle pouvait payer 3 mois avec son premier salaire. Le propriétaire n'était pas très enthousiaste parce qu'il devait l'héberger "gratuitement" pendant un mois et que la demoiselle n'avait rien à mettre en garantie.
Les premiers jours avait été assez pénible et stressant pour la jeune pouliche qui était moins bien brossée et avait des bouclettes moins soyeuses que d'habitude cependant c'était aussi ça l'expérience de voyager. Parfois tout ce passait bien et parfois certaines situations étaient un peu plus problématique mais après 2-3h de négociations avec son propriétaire finalement il accepta à l'essai pendant 2 jours pour voir si la demoiselle allait bien suivre les cours et travailler comme elle l'avait promis.
Actuellement on était donc durant le jour de repos de la pouliche qui avait décidé de se balader dans une des rues commerçantes afin de faire quelques courses pour se préparé ses repas de la semaine ainsi qu'acheter certains ingrédients pour s'entrainé à faire le plat qui serait son premier test dans 2 semaines.
La rue était bondée et il y avait plein de choses à voir. Pleins de commerçant de manière "officiel" avec leur beau magasins et des artisans plus locaux qui vendait des produits divers et variés sur leurs étalages. Par mesure d'équité, la pégase passait dans l'établissement des 2 types de vendeurs. Après tout certains produits plus locaux bien ranger dans les étagères n'était pas aussi frais que ceux vendu sur un petit stand.
La ponette passa donc une bonne partie de la journée à faire la boutique et sa petite sacoche commençait à se remplir de bon produit grâce a son premier salaire hebdomadaire. L'attention de la demoiselle avait surtout été attiré par un producteur local avec qui elle avait passé bien 30 minutes à discuter. Elle avait eu un peu de mal a lui parler à cause du bruit ambiant mais aussi de la ravissante chanson qu'elle entendait à propos d'une potion du stand qui était dans son dos.
Ce genre de produit ne l'intéressait pas plus que ça donc pour la vendeuse elle devait simplement être une ponette aux couleur automnales et un noeud de couleur carmin qui lui tournait le dos pour discuter avec un autre vendeur.
Finalement, la chanson terminée, la foule semblât s’enjailler quelque-peu, un premier poney leva le sabot en disant combien qu’il en prenait une, les affaires commençaient donc. Sans louer d’emplacement en plus, totale économie mais il fallait bien ca pour rentrer dans ses frais. Le premier bus une grande gorgée de la potion. Et eut un drôle de regard, d’ailleurs, la foule intéressée regarda vers le poney premier acheteur tandis que Lunar ravalait sa salive avec un peu de bruit… Pourquoi diable cet idiot de traine potence avait-il immédiatement avalée une gorgée ! Ca risquait de compliquer ses affaires si
« Hé, mais c’est du simple jus de Crevetolla ! »
Et merde… Voilà exactement ce que la ponette voulait éviter au départ ! Que quelqu’un se rende compte qu’elle vendait bien trop cher un produit bien classique par ici, et qui n’allait en plus, pas se garder longtemps. Fallait trouver quelque-chose, une idée, une réponse, en fait même si l’instant lui parus durer une éternité et qu’elle devait avoir la robe un peu brillante de sueur, sa réponse ne pris pourtant qu’une dixième de seconde à arriver et du tac au tac, la ponette reprit : Mais quelle merveilleuse sagacité, pour un si petit-petit poney !! ♫ Êtes vous un surdoué ou la potion fait-elle effeeeet ? » Voilà qu’après être un peu partit dans les aigus elle place une patte par-dessus l’épaule du premier client « Au bon gout d’crevetolla ♪C’est c’qui faut à un poney comme toi ! » Conclut-elle en s’adressant du regard au poney mais en tendant l’autre patte vers le reste de la petite assemblée.
Sans marquer son inquiétude, elle arbora un large sourire plein de confiance en apparence, c’était dans la poche ! Dans les deux ou trois minutes qui suivirent, la ponette parvint à tout écouler. Et récupéra son argent avec un bénéfice. Revenant à un montant supérieur à ce qu’elle avait dérobé sur le navire avant sa fugue. Dès le dernier client dépossédé volontairement de ses écus, par chance pour elle ce ne fut qu’au dernier des clients qu’elle entendit « Je te connais, toi ! »
Elle n’eut pas à regarder, elle qui avait entendu très peu de voix différentes dans sa vie d’avant sa fugue et encore moins avant que le navire ne prenne des passagers à son bord, avait reconnue celle d’un des membres d’équipage. Abandonnant sa charrette ainsi que l’argent du dernier des clients ; la violette pris la poudre d’escampette ! Aussi surprise, qu’effrayée et, pour le coup, pressée, elle s’engagea d’avant, percutant sans ménagements une ponette portant le nœud, puis s’engouffra dans le noir de la foule bondée du marché qu’il y avait à quelques foulées de là. Elle passa ensuite par une ruelle étroite et que l’on remarquerait probablement à peine. Sa cavale la fit courir sans se retourner ni trop regarder devant, aussi ne vit-elle pas que la ruelle donnait en vérité sur un escalier et elle s’effondrât lamentablement dans ceux-ci, ne les descendant que trop vite. Achevant sa chute en cognant lourdement du front et de la corne contre la parois d’une habitation.
Se redressant comme elle le pouvait elle saisit dans la bouche un de ses livres qu’elle remis dans sa poche, et chercha le second, mais il ne semblait pas être là. Probablement l’avait elle perdue dès le départ de sa fuite. Et un instant, elle hésita à retourner en arrière pour le chercher. Puisqu’il s’agissait du seul souvenir qui lui restait d’un de ses parents. Ce dernier comportait d’ailleurs de nombreuses annotations de deux poneys à coté des sorts et tours de passe-passe. Bref, l’autre semblait pas l’avoir suivie jusque là mais si elle remontait et retournait au marché… Elle ne serait probablement plus libre et, trainer dans cette ville maintenant qu’elle était repérée était synonyme d’emmerde pour elle autant avec son oncle et ses hommes de main qu’avec les poneys arnaqués pour récupérer sa mise financière.
Breeze était assez satisfaite de ses achats. Cela avait pris un petit moment mais elle avait enfin tout ce qu'il lui fallait pour faire un bon repas qui n'était pas trop cher. Elle avait tout mis dans sa sacoche pour éviter de les abimés et que se soit plus facile à transporter, tout sauf le petit sac qui contenait quelques tomates bien mures qu'elle gardait entre les dents car elle ne voulait pas les écrasées dans son sac.
La pégase avançait donc tranquillement en regardant bien ce qu'il y avait devant elle pour être sur de percuté personne mais un accident arriva quand même. Personne lui avait dis qu'il fallait aussi qu'elle regarde derrière elle et la pauvre ponette fit un crash aérien un peu plus loin sur le sol.
Le choc l'avait un peu surprise mais surtout maintenant qu'elle avait des tomates pleins les yeux il était difficile de voir qui était le responsable de ce vilain tour. Le temps que Breeze se relève, retire les reste de nourriture de son visage et qu'elle remettent son noeud en place ,qui semblait encore plus triste qu'elle, l'individu avait disparu.
Elle ne s'était pas attendu à grand-chose mais une excuse même en continuant de courir aurait été le minimum de la politesse. L'apprentie cuisinière soupira vérifia le reste de ses courses qui heureusement n'était pas trop endommagée et s'apprêta à continué son parcours quand elle senti un livre sous son sabot après avoir fait 2 pas.
La jeune demoiselle regarda à gauche puis à droite avant de constaté que personne ne semblait s'en préoccupé ou vouloir le ramasser. Breeze sorti un petit chiffon de sa sacoche et s'en servi pour ramasser le livre. Le livre n'était pas à elle et il venait de trainer sur le sol, elle préférait ne pas se salir la bouche ou tomber malade en prenant le livre sans aucune protection.
L'aventurière se mis tranquillement le côté est commença à nettoyer la couverture du livre avant de finalement le prendre entre ses sabots pour essayer de l'analyser un peu plus. Le titre ne lui disait rien du tout et l'adolescente se permis de l'ouvrir pour voir si elle ne pouvait pas trouver un moyen d'identifier le propriétaire.
Cette exercice lui pris un moment mais après une bonne dizaine de minutes grâce aux ajouts qui étaient dans le livre ainsi qu'une photo des deux parents et d'un bébé licorne, breeze réussi finalement à identifier la responsable de sa bousculade. Devait-elle aller directement à l'embarcadère pour donner le livre à un membre de l'équipage du bateau de lunar ou devait-elle attendre ici qu'elle reviennent?
La nuit allait pas tarder à tomber et resté sur place à attendre que lunar reviennent pouvait être dangereux pour elle. Si la mémoire de l'aventurière ne lui faisait pas défaut, il lui semblait avoir entendu une voix ressemblant à celle de la licorne sur le petit marché. Il fallut quand même bien 20 minutes à breeze pour retrouver l'étal et comme le poney allait fermer bientôt boutique il était inutile d'attendre avec lui ou de lui confier une note.
La pégase se contenta donc de laisser dans la charrette de Lunar l'indication comme quoi elle avait le livre et au dos de la carte son adresse pour qu'elle vienne le chercher. Elle aurait pu laisser le ivre dans la charrette mais elle craignait qu'on le vol et lunar allait devoir faire un acte de foi en la croyant sur parole à propos du livre. Elle n'avait pas de quoi le prendre en photo et n'allait certainement pas retiré la photo à l'intérieur pour la placer dans le moyen de transport.
L'aventurière n'avait pas mis de nom et espérait que le message ne fasse pas trop menaçant. elle voulait vraiment rendre son bien à la licorne mais maintenant qu'elle était rentrée chez elle et commençait à préparé le repas du soir elle commençait à se dire que ça pouvait ressemblé à une demande de rançon.
Finalement, après un long moment d’hésitation, la pluie commença à tomber, et c’est les yeux ronds comme deux beaux blu-raye qu’elle se décida. Un tel souvenir allait être complètement ruiné par la pluie, alors, elle sortit de sa cachette, et reprit le même chemin à contresens. Galopant et clopinant. Elle revint assez vite sur la place. Totalement vidée. Des déchets et restes de fruits traînaient ca et là, poubelles débordantes de mets dont Lunar aurait bien fait son affaire à défaut d’autre chose. Mais, elle n’était pas ici pour bouffer. Pas tout de suite du moins. Il était fort à parier que, en revenant plus tard, d’autres pauvres créatures en auraient fait leur affaire. Y compris de ses tomates écrasées au sol. Elle retourna là ou était le stand, mais il n’y restait que sa vieille carriole déglinguée, rangée dans un coin. Un moment la ponette chercha ca et là. Désespérant et dépitée ; sous la pluie battante.
Ouai, peut-être bien qu’elle pleurait maintenant. Sans perdre plus de temps. La ponette s’harnacha à son véhicule défoncé, quelqu’un avait foutu un papelard dedans. Putain sérieux, les gens sont vraiment des crades ! Une hygiène pareille sur un bateau et c’est la fin en un rien de temps. Elle tapota du sabot pour le virer, entre les larmes et les yeux rouges, elle faillit bien ne pas voir que c’était un mot. Et sa curiosité la poussa finalement à s’en saisir. « J’ai votre livre » ohlala ! Quelqu’un lui tend un piège ! La ponette rangeât le mot dans sa crinière après avoir noter dans un coin de sa ptite caboche l’adresse. Bizarrement, ce n’était pas au port, mais elle ne doutait pas qu’il s’agisse de l’équipage. Aussi échafaudait-elle un plan directement.
Forcément, elle arrivait assez tard puisqu’il était déjà une heure avancée lorsqu’elle avait vus le mot. En plus de vouloir passer par des chemins dérobés, avec sa carriole car elle avait un rôle important dans son plan. Choper la sortie de secours en grimpant sur sa charrette et rejoindre la bonne fenêtre. Ce fut u plan qui nécessita de sauter plusieurs fois avant de choper entre ses dents le barreaux qui faisait descendre un escalier de ferraille. Mais l’articulation était bloquée plus haut. Aussi Lunar dû agiter ses pattes pour parvenir a grimper sans dérouler le dit escalier. Et se retrouvé sur la plateforme la plus basse. Sale, la crinière aplatie par la pluie, les yeux toujours rouges, elle grimpa d’un pas de velours dont les quelques bruits de fer rouillé et grinçant furent cachés par la drache.
Au bon étage, au bon numéro d’appartement, Lunar se faufila sous l’une des fenêtres, jetant un regard aux lumières et a l’ombre unique parmi celle se mouvant dans le logement. Ouvrir l’articulation d’une fenêtre depuis dehors n’avait rien de compliquer, surtout si c’était une modèle en bois. Une baguette transverse a décloué, mais d’une fragilité suffisante pour qu’un mini coup face le taf. Elle savait faire. Puis choper du bout du sabot le locket, tourner la poignée ainsi. L’instant d’après, Lunar était dedans ! Dans une pièce ou n’était pas le membre d’équipage probablement resté pour faire croire que ce n’était pas un piège. Ses sabots retentirent, Lunar se cacha derrière un rideau ! Trop courts. Derrière un meuble ? Trop loin ! Elle voulut ressortir, mais connement elle avait refermer la fenêtre et s’écrasa la face contre les carreaux.
Sur le chemin du retour, Breeze espérait que le papier qu'elle avait laisser ne s'était pas envoler ou n'allait pas être trop abimé pour les intempéries. il serait fort dommage pour Lunar qu'elle ne récupère pas son livre à cause d'un petit problème de communication.
La pégase déposa sa sacoche à l'entrée et commença à sortir ses courses pour préparé le repas du soir. Elle avait bien pris la peine de laisser le livre de Lunar en évidence pour que cette dernière puisse le récupéré au moment ou elle s'en irait. Il était rare pour la ponette d'avoir des invités donc elle fit de son mieux pour préparé un repas appétissant.
Sa grand-mère lui avait appris que c'était très important de bien recevoir les gens et elle se devait de faire honneur à ses traditions. Les manes 6 disait souvent aussi de bien traité leurs amies et pinkie pie avait pas mal de chapitre sur les fêtes et l'amitié.
Breeze n'était pas suffisamment riche pour faire une fête pour lunar juste pour qu'elle viennent récupère son livre mais un repas c'était un peu comme faire une fête puisqu'il y avait de la nourriture, des gens et de la bonne humeur. Après un long moment de préparation, la pégase fut satisfaite de son plat mais elle commençait se demandé si Lunar allait bientôt arrivé.
Elle aurait pu commencé à cuisiner lorsque la licorne serait arrivée mais son instinct lui disait que cette dernière n'était pas du genre très encline à faire la fête et qu'elle profiterai que son hôte est le dos tourner pour essayer de partir. La voyageuse pensait bien avoir cerner le caractère de la magicienne mais elle fut quand même surprise de la retrouver dans sa salle de bain.
La cuisinière avait entendu un bruit dans la pièce des commodités et avait été voir car c'était pas la première fois qu'un petit volatile heurte la vitre et elle devait s'assurer que le pauvre petit aille bien car c'était ce que fluttershy aurait fait. Elle fut donc assez surprise de voir une ponette trempée jusqu'au sabot dans la pièce.
-Je t'attendais Lunar. Je pensais que tu passerais par la porte parce que ça serait plus pratique et je comptais de dire de faire comme chez toi mais tu m'as devancée. Il y a une serviette pas loin. Oublie pas de te laver les sabots puisqu'on va passé à table.
Breeze avait affiché un grand sourire durant toute la conversation et elle avait parler d'une voix douce certes mais qui trahissait son excitation d'avoir quelqu'un avec qui partager la soirée. Elle se sentait comme twilight la première fois ou elle avait fait une soirée pyjama et avait hate de commencé la soirée.
Les quatre fers étendus en étoile et la crinière dans tous les sens, dégorgeant l’eau de la saucée qu’avait déversé le ciel avant qu’elle n’arrive. Elle était foutue, tous ses efforts pour en arriver là. Perdre son livre et se faire prendre dans un piège de bas étage ! Un instant, elle resta ainsi, bien persuadée que c’était une piège qui lui tendait à ce point les pattes dans tous les sens et non juste le simple résultat de sa chute. Quand elle entendit un bruit de pas, clapotement d’une ponette ou d’un poney plus frêle que la norme, elle ferma fort les paupières comme une pouliche qui espérerait que ce ne soit qu’un cauchemar de plus. Souvent, elle l’avait fait, plus jeune, jamais ça n’avait fonctionné…
Lunar ? Attends, qu’elle connaisse son nom n'était pas bizarre, mais… Ce n'était pas la voix d’un membre d’ équipage. Et elle l’invitait à venir donc, elle n’était pas tombée dans un piège ? Elle ouvrit les yeux, toujours couverts par sa crinière et la quantité d’eau qui en coulait. Et elle essaya de bouger, et c’était ok. Pour l’instant du moins. La violette en profita pour balayer un peu de sa tignasse devant ses yeux avant de se relever. Non sans une certaine difficulté à ne pas re-glisser, elle s’essuya de nouveau, à cause de l’eau. Et ne se fit donc pas prier pour saisir la première serviette qui passait dans son champ de vision. Nettoyant sa face puis la déposant sur sa tête pour que celle-ci éponge un peu et limite les coulées. Là, elle devrait dire qu’elle n’est pas venue pour manger, elle doit dire que, il est hors de question qu’elle reste plus longtemps ou qu’elle passe par la porte [on ne sait jamais !].
Au lieu de ca, voilà pas qu’elle se lave les sabots. D’un autre côté, elle a faim. Et pas l’habitude de se faire inviter, ni de discuter sans arnaquer, mais bref, elle se mord la gencive tout en se forçant à dire : « j’dois partir, rendez moi juste mon bouquin. » Ah, attends, non… Il n’y a que le j’dois qui est sortit, et à voix si basse que le filet d’eau du robinet à probablement tout caché. Elles sont dans une salle de bain, mais il va falloir en sortir et négocier la libération de son livre. Où se faire sauter dessus par les poneys en embuscades. Ok… Si elle n’ose pas parler, elle va jouer le jeu en restant aux aguets. « Où il est ? » finit elle par demander, toujours à voix basse et avec le regard fuyant, tandis qu’elle s’essuyait les sabots sur la serviette précédemment déposée sur sa propre tête.
Jouer le jeu, rester aux aguets, ok, et la faire parler. Ca c’est plus difficile quand soit même on ne sais pas faire. C’est que d’habitude elle chante surtout, et toujours en scène et pour vendre de la merde pas pour, juste, blablater quoi alors, elle ne pus ajouter qu’un « Et z’êtes qui ? » Pas que ca l’intéressait. Encore que, si c’était une nouvelle recrue elle devrait s’y habituer si elle était capturée et contrainte de retourner a bord… Autant se la mettre dans la poche.
Breeze voltigeait partout. Elle faisait de son mieux pour terminé de préparer la table et apporta la casserole de sur la table. Elle était contente d'être un pégase dans ce genre de situation car il fallait plus que la bouche pour tenir une casserole droite il fallait bien 2 sabots et marcher sur ses sabots arrières étaient un exercice compliqué quand on avait pas l'habitude.
Bref pendant que Lunar se nettoyait les sabots, Breeze en profita pour remplir le bol avec une bonne louche de soupe au carottes qui était au niveau de la place de son invitée. Elle se rempli également un petit bol puis elle s'installa à sa place et attendit que la magicienne arrive mais c'est lorsqu'elle la vit qu'elle se rendit compte du terrible hôte qu'elle était.
La ponette parti donc en courant au niveau de la porte pour la déverrouillé. Après tout elle était venue par la fenêtre donc sa porte était toujours fermée à clée. Dans cette petite pièce le cliquetis de la clée qui tourne dans la serrure se fit entendre mais comme la voyageuse était devant la porte il était difficile de voir son mouvement et donc de dire si elle venait de fermer ou ouvrir la porte.
Avec un sourire extrêmement joyeux, Breeze se retourna en direction de Lunar en ne la lâchant pas des yeux. Si Lunar sortait de son champs de vision elle tournait juste lentement la tête pour continué à l'observer mais la ponette ne disait pas grand chose pour éviter de l'effrayée.
-Bien je pense qu'on peux commencé.
C'est tout ce que Breeze dis de sa voie mélodieuse pendant qu'elle retourna s'assoir avec un grand sourire en pointant sa place à Lunar. Tout l'être de la cuisinière montrait qu'elle était impatiente que son invitée prenne place à l'endroit qu'elle indiquait. Peu importe le temps que ça prendrait car elle essayait de la mettre à l'aise avec son grand sourire joyeux qui montrait ses jolie dents et son sabot droit qui indiquait la chaise.
N’ayant pas fait attention que la pégase avait quitter la salle de bain, la pauvre ponette un poil trop timide en discussion privée, avait poser des questions qui étaient restées sans réponses. Faut dire aussi qu’elle était tournée vers l’évier pour se laver les sabots. Depuis quand se lavait-on les sabots dans l’équipage ? Pas qu’ils étaient peu hygiénique mais bon, voilà quoi ! La terre c’est pas sale, non ? C’était vraiment étrange, comme situation. Pourquoi on ne lui avait pas encore sauter dessus restait un mystère. Et elle était totalement tombée dans la gueule du loup, à bien y penser, peut-être que la ponette ci-présente n’avait rien à voir avec tout ca mais désirait juste… Lui faire du mal ! Après tout, quel poney ne voudrais pas faire de mal à un autre, surtout si c’est un poney-monstre comme Lunar ! Bref, prise dans des réflexions presque sans queue ni tête, elle rejoignit le salon. Non sans appréhension et prudence excessive.
Si elle prévoyait de passer ultra lentement, voir soudain l’hôte se jeter sur la porte pour la fermer lui fit stopper le cœur une demi seconde ! Et Lunar elle-même se jeta sur la porte, retombant au sol maladroitement et s’écrasant contre celle-ci, elle tourna vivement la clef… Dans le sens de la fermeture ? Attend, elle vient d’ouvrir la pégase ? Donc pour que des gens entrent ? mais personne semble avoir essayé… Ecrasée au sol contre la porte comme le serait un boudin pour stopper l’air : « Fermé. C’est mieux. » Clairement il n’y avait personne d’autre à l’intérieur alors oui, si c’était une embuscade à plusieurs. L’air de rien, Lunar se redressa, en face, l’aérienne semblait très heureuse, presque trop. D’ailleurs, ca lui rappelait un vague souvenir de son passé pas si lointain. Trop de joie et de couleur vive, mais elle ne savait plus bien d’où. L’inconnue proposait de commencer ce qui tendit encore plus Lunar, jetant son regard à droite puis à gauche avec l’inquiétude totalement revenue.
Puis reporta son regard droit sur elle, « Maint’nant, j’veux des réponses. » dit-elle un peu froidement, presque colérique, le cœur battant fort de terreur, peut-être pour ca que son regard fut soudain attiré par du rouge et tout s’emboita très soudainement « LE NŒUD ! » puis le sourire aussi, bref, elle voulait se venger des sous voler ! C’était elle que Lunar avait dépouillé pour financer sa fugue ! Bordel ! Fallait que ca lui tombe dessus, que ce soit celle-ci qui trouve le livre ou alors c’était une vengeance murement réfléchie et elle avait volé le livre. Lunar recula d’un pas, son popotin buta contre la porte malheureusement fermée : « ‘Coute, j’suis désolée, VRAIMENT, j’voulais pas, laisse moi juste, du temps pour m’acquitter d’ma dette ! » Dos au mur, elle était foutue si la pégase était vraiment comme on lui avait décris les pégases. De terribles bandits des airs fondant sur leur proie sans pitié ! –et sentant fort le poisson volant !-
Lunar était vraiment une créature des plus étranges. C'était la première fois que breeze voyait quelqu'un d'aussi suspicieux devant un repas enfin hormis les critiques culinaire mais il serait étonnant que la licorne soit à la fois une grande magicienne et une critique gastronomique.
Breeze pensais avoir mis son invitée à l'aise en lui laissant un échappatoire mais elle semblait préféré que la porte soit fermée à clée. Cela ne dérangeait pas la pégase que sa porte soit fermée à double tour ou qu'elle soit déverrouillée alors si une porte fermée et/ou cadenacée pouvait mettre lunar à l'aise c'était mieux pour la pégase.
après avoir repris ses esprits suite à sa magnifique performance acrobatique, lunar se tourna enfin en direction de l'hôte et elle formula une demande des plus étranges. Elle voulait des réponses et breeze se serait fait un plaisir de lui en donner mais lunar n'avait poser encore aucune question. La pauvre magicienne devait vraiment être affamée pour ne plus savoir ce qu'elle avait penser ou dit.
La pégase sursauta un peu lorsque finalement son invitée se mis à hurler, comme une personne qui était en plein d'élire d'inanition, le symbole de son identitée. Elle avait un noeud et elle en était très fière mais elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait donner comme réponse à cela. Elle voulait savoir ou elle pouvait en trouver un aussi? depuis combien de temps elle l'avait? En quoi il était fait? ce qu'il représentait?
Difficile de répondre à lunar sans plus d'information et elle n'avait pas envie de répondre à toutes ses questions muettes car certains poneys n'aimait pas avoir trop d'information considérée comme inutile. Breeze attendit donc une vraie question en surveillant de temps en temps la soupe de lunar qui commençait à être à température ambiante.
"On va pas faire un foin pour 3 tomates. J'ai du mal à joindre les 2 bouts mais pas au point de demandé réparations pour 3 misérables légumes... à moins que se soit des fruits?"
Breeze semblait essayer de se souvenir si on qualifiait les tomates de fruits ou de légumes. Elle savait qu'elle avait eu un cours dessus mais impossible de remettre le sabots dessus. Enfin c'était pas importants que ce soit l'un ou l'autre de toute façon elle comptais pas faire payer lunar.
"En parlant de foin. Je t'invite à nouveau à boire ta soupe comme ça on pourra manger nos burgers de foin. J'ai un examen la dessus prochainement donc n'hésite pas à me donner ton ressenti sur l'ensemble du repas. Oublie pas de me dire non plus si tu veux des oignons et des cornichons sur ton burger de foin ou si tu n'aime pas ce genre de chose"
En tant que bonne hôte de maison la pégase était prête à se mettre en 4 pour faire plaisir à lunar. Elle avait même prévu une tarte au pommes comme dessert mais c'était uniquement si lunar avait encore faim ou qu'il n'était pas trop tard pour elle et qu'elle devait rentrée chez elle.
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