Surnom : Luna   Non sérieusement ce sont tes amis qui doivent te donner un surnom et Lunar n'en as pas !
Âge : 18
Sexe : ♀
Race : Licorne pur jus
Origines : Equestria - Eternal Magic Kingdom
Parents :Swindle Rain et Blushing Rockies.
Métier : Escroqueuse, arnaqueuse, itinérante et magicienne
Niveau de vie : Plutôt aléatoire, dépend du public et de sa crédulité

Capacités

Capacité de Race : Détection de la magie.
Capacité Morphologique : Magie (et encornage ? xD)
Trait de Faction : Connaissance, pas d'illettrés
>Malus : Son considérés comme orgueilleux

Capacité de Spéciale/Talent : Maitrise de la magie très accrue de nuit. (Lunar manipule principalement des sorts de Prestidigitation et sa marque est particulièrement efficace sur ceux illusionniste, lui permettant d'effrayer ou de rassurer autrui (si tu vois la chanson du rire de Pinkie, les arbres auraient pu être un sort mineur de Lunar (vus que des illusions inanimées))


Malus n°1: le résultat sera aléatoire si la magie est utilisée de jour. (hors petite télékinésie du quotidien si tant est qu'elle ne soit ni stressée ni que sais-je d'autre)

Bonus/description part n°1: en cas de nuit pleine, sa magie connaît un accroissement important de puissance (gros bonus compensant l’inutilité sur une grosse partie de la journée). (elle est capable de faire des illusions dans un rayon de 2m)

Bonus/description part n°2: si pleine Lune il y a, la puissance de sa magie est encore accrue. (elle est capable de faire des illusions dans un rayon de 4m)


Malus n°2: cependant, lors d'une pleine Lune, un dé sera nécessaire pour voir si elle parvient à faire ce qu’elle veut comme sortilège (dans le cas d'un échec, ce sera un sortilège aléatoire comme en plein jour). -> Possibilité de contrôler ça quand elle sera plus âgée

Malus n°3: même en cas de réussite, le contre-coup sera assez important pour l’assommer un long moment.

Je laisse soin au staff de jauger la valeur du gap de puissance en cohérence avec le forum

Caractère

Du point de vu du caractère, Lunar est comme sa magie, elle fonctionne à deux niveaux très distinct. Sur scène ou avec des gens qu'elle connaît, elle sait être extravagante et parlerait presque trop (non, clairement trop.) comme-ci elle voulait rattraper un temps définitivement révolus. Tandis que hors d'une scène avec des inconnus ou de simple connaissances, il lui sera difficile de ne serait-ce que regarder dans les yeux. Alors, vraiment prendre la parole et tout, c'est compliqué, bien qu'elle travaille dessus depuis très peu de temps, c'est clairement pas encore ca. deux attitudes totalement différentes induites par son vécu mais qui pourrait bien paraître être de la comédie aux yeux d'autrui, qu'une personne passe de l'un à l'autre sans aucun contrôle étant totalement anormal. Elle même se trouve anormale et stupide d'être aussi différente selon les situations.

Stupide, c'est ce qu'elle se considère allègrement être au niveau de son comportement, mais surtout, bien éduquée par son tonton, la pouliche se « sais » ne rien mériter, tout juste de vivre et encore, elle considère qu'elle n'est qu'un monstre, une créature détestable que personne ne peut aimer et, du coup, pourquoi se priverait-elle de se faire détester ?

Cela nous conduit aux faits, rien que les faits ! La ponette est une arnaqueuse et à des réflexes proche de la cleptoponyie, ce n'est que dû à ce qu'elle sais du monde, ce qu'on lui as montrer, narré et dit d'elle-même. Après tout, si on veut quelque-chose, soit on peut le prendre, soit on fais en sorte que le poney d'en face crache ses sous ou ses biens de lui-même quitte à lui mentir, c'est comme ca que les relations sociales fonctionnent non ? Probablement pas vu qu'elle a fait du séchoir, mais peu importe, puisque, comme déjà dit, elle n'est qu'une minable créature qui se fera toujours détester quoi qu'elle face.

Si sa loyauté, aujourd'hui, ne vas à personne, on peut néanmoins constater une sorte de « fidélité » qui pourrait bien la caractériser. Ayant prit pour promesse auprès de son père de devenir une grande magicienne de spectacle, elle s'y emploie chaque jour depuis la disparition de ce dernier. Et s'y employait déjà avant cela. Aussi peut-elle donc se targuer de ne jamais avoir rompu une promesse faite de bon gré. (différentes de celle faite à son oncle d'être « sage » si on la détachait.) Les tatillons diront qu'elle promet selon ses intérêts et, il est vrai qu'on l'a déjà vu jurer sur toutes les alicornes d'equestria que ses produits miraculeux fonctionneraient, mais, qui croirait en quelqu'un jurant sur les alicornes ? Pas elle en tout cas ! C'est de leur faute s'ils sont si crédules.

Pour le reste on peut aussi déduire qu'elle est assez courageuse, au vu de son rythme de vie actuel, une fugue permanente et de défi de l'autorité, biensur au départ elle était très effrayée par tout ça, mais, avec les années on s'y fait plus ou moins et, maintenant, elle se sent capable d'affronter de plus grand défis ! Mais pas des monstres, ou alors, faut vraiment qu'elle y ait un intérêt important ou qu'elle ait un plan derrière la crinière. Ou bien que ça soit sur scène, là admettons. Le risque en vaudrait la chandelle !

Physique

Lunar est une petite licorne, aussi si son pelage est d'un violet très sombre, il lui arrive d'être zébré en cause, un effet secondaire aléatoire de sa magie en usage. Ce qui dans ses moments là, pourrait presque faire d'elle un arc-en-ciel puisque ses deux teintes mauves sont cadencées par une foultitude d'autres sur sa crinière allant aisément du rose au noir tant elle est méchée de variables possibles d'une même base de couleur. Il faut d’ailleurs dire à ce propos que Lunar prend bien soin autant de son crin que de sa crinière comme de sa queue qui sont pourtant noués plus à la bohémienne que de manière chic et classe. Elle les sertit d'une quincaillerie d'or (plaqué) et de pierres précieuses (minuscules et de piètre qualités) de petite valeur comparativement à d'autres bijoux. Malgré tout ce soin apporté, elle a souvent la crinière qui rebique à l'arrière, un peu comme si celle-ci désirait pousser en crête. Probablement parc-que sa crinière comme sa queue d’ailleurs, sont d'une longueur et d'une épaisseur certaine et qu'il est finalement difficile de parfaitement tout tenir en place. D'ailleurs, il lui fait régulièrement se faire une coupe, car la pousse est assez rapide chez elle.

Son visage de ponette est assez rond et son museau peu proéminent. Ses yeux à la forme envoûtante sont aussi sertis d'iris aux intonations d'améthystes. Si ce condensé violacé n'est pas suffisant, la ponette est souvent bardées d'une double sacoche elle aussi aux rainures de cette même couleur contenant deux gros livres. Ce qui pourrait être un bon moyen de la reconnaître même si elle tombait dans un pot de peinture (ne quittant presque jamais ses bouquins si précieux). Cependant, son trait le plus notable est sous le bandage qu'elle porte au bas de la patte arrière droite. Cachant une marque incrustée dans la peau due aux fers qu'elle a longtemps portés. La marque étant très disgracieuse, c'est d'ailleurs un point assez sensible (moralement et physiquement) de son anatomie et qui s'avère la faire parfois boiter. Un regard attentif la verra toujours legerement clopiner en trôt, ce ne sera jamais parfait. Bien que ce soit généralement assez peu prononcé. (sauf par exemple après de gros efforts physiques ou quand il fait très froids)

Pour le reste, étant une licorne, il serait utile de parler de sa corne mais celle-ci n'est pas différente de celles de la majorité des licornes, bien qu'elle la froufroute aussi de bijoux pareils à ceux de sa crinière. Et sa marque de beauté arbore du bleu et du rose, il s'agit d'un croissant de lune (violet rose) en plein câlin et dont sortent des étoiles bleues. D'aucuns penseraient que la lune avec un sabot étranger au niveau de la poche correspondrait bien au passif familial de voleurs.


En terme de taille pour son âge, Lunar est dans la norme quoi que peut-être plus proche d'une norme « basse ». Sa croissance n'est toutefois pas tout à fait terminée. Au niveau du poids, la ponette est plutôt « athlétique/sèche » pour une licorne et en ce sens qu'elle mange à sa faim et trottine beaucoup, ne lésine pas sur les efforts pour se débrouiller et son faible budget ne lui permet pas de faire d’excès.

Histoire

La famille Tricky a toujours été composée de truands, de malfrats et autres joyeusetés pourrissant la vie des poneys à travers Equestria. D'aussi loin qu'une mémoire se souvienne, il y a toujours eu un Tricky pour voler le cadeau du feu chaleureux sous le sapin d'une famille endormie ou pour s'accaparer des marchés juteux en toute illégalité pour mieux dépouiller les gens avant de fuir. Parce que oui, quand on peut dérober un sabot, autant prendre la patte ! Et pourquoi pas tout le reste. Toujours dans l’excès. Il n'est donc pas étonnant que la justice populaire ait souvent frappé ses représentants par la peine de mort même lorsqu'elle était interdite. Très mal vus et longtemps conspués, ce fut Wacky tricky, le premier de la famille à ne pas vouloir être un simple malandrin, qui changeât les choses. Rencontrant bien des difficultés pour y parvenir, il décida de transformer totalement la façon de fonctionner de sa famille qui n'était par ailleurs composée sur cette génération que de quatre cousins cousines.

Il réunit donc son lignage et leur proposa de regrouper leurs talents pour construire une nouvelle image auprès des poneys principalement de l'Eternal Magic Kingdom. Mais tous refusèrent. Alors il concéda des intérêts pour ses proches : Vous pourrez commettre vos méfaits sans être constamment surveillés, vous construire une image joviale et amicale tout en gagnant de l'argent pour financer vos crimes. » Le projet de la scène de la fabuleuse pluie était né (il deviendra rapidement le cirque de la fabuleuse pluie, mais bref!). Car maintenant et pour bien faire comprendre à tous qu'ils avaient « changés », ils seraient les Rain. D'honnêtes itinérants du spectacle possesseurs d'un cirque de magie sans corne et d'exploit physique. D'ailleurs, si Wacky était le magicien du groupe, il y avait aussi l'acrobate, un poney connu pour s'infiltrer dans toutes les propriétés et toutes les ouvertures possible, un grand cambrioleur. Le poney clown, plus connu pour de petites arnaques sur la crédulité, se faisant parfois passer pour victime d'accident en jouant la comédie, en clair, un charlatan de bas étage. Et la ponette à la force herculéenne. Effrayer et malmener des poneys pour payer des dettes pas toujours justifiées était son « travail » le plus courant. Mais tous juraient après leur dernière condamnation a ne plus rien commettre d’illégal et jurèrent auprès de Wacky de ne rien commettre d'actes répréhensibles avant 5ans, ni après cette date sans concertation générale. De sorte à ne plus être de vulgaires truands se faisant trop souvent attraper.

Ils ne devinrent pas des seigneurs du crime, mais leur petite scène passa vite au statut de cirque lorsqu’ils eurent si bonne réputation, qu'il leur fallut recruter du personnel. Ce qu'ils trouvèrent dans des poneys rejetés, de basse extraction et au plus souvent bizarres et aux mœurs assez. Il y avait bien sûr aussi quelques poneys « monstrueux », le plus souvent sous un costume particulièrement bien réalisé pour accentuer des traits pas si anormaux au départ. Tout aussi rapidement que le cirque avait grandit, il atteignit un plafond de verre bien difficile à passer. La concurrence de structures plus grosses et plus riche. L'ascension du cirque avait poussé les représentants de la famille à se stabiliser, fondant leurs propres lignages au sein du cirque, amis sans pour autant arrêter totalement les vols, menaces et compagnies. Et si une structure grandissante permettait de les protéger y compris quand ils étaient recherchés pour ça, que le cirque commence à stagner sinon même décroître allait poser de réels problèmes.

Un beau matin, tandis que Wacky cherchait de nouvelles inspirations sur un marché d'une ville portuaire peu fréquentable aux frontières extrêmes de l'Eternal Magic Kingdom... Il la vit, les fers aux sabots, comme une vulgaire prisonnière, mais aux mains d'un tout aussi pathétique geôlier. Elle était fantastique, un véritable poney-monstre avec toutes ses zébrures et sa crinière étrange ! Et c'était sans parler de sa marque de beauté qui était assez terrifiante, du moins si on y mettait quelques effets pyromagique de scène face à un public de locaux crédules et jamais sortit de chez eux. Ce qui était certain, c'est qu'on avait jamais vu pareille créature, même dans ce port pourtant fréquenté. Il la lui fallait, impérativement.

Inutile de négocier avec d'autres truands, toutefois et puisque seul de la famille non-désireux de vivre comme un malfrat, Tricky suivit le terrible capitaine, son équipage et leur prisonnière, marchandise ou quoi qu'elle fut, jusque dans une taverne à marins. Puis il s’invita auprès de leur table et tenta de marchander et d’impressionner le terrible corsaire. Il est bien difficile, même en tant que maître des subterfuges de scène, de troubler quelqu'un qui a été si loin sur les mers qu'il en ramène une créature si incroyablement fantastique. Aussi se fit-il rembarrer, elle n'était ni à vendre, ni a exhibé. C'était sa proie, et celle de son équipage, une juste récompense pour avoir survécu à cette tempête qui les avait fait naviguer a plusieurs mille des routes connues.

Tricky était certes déçu, mais pour une fois, il était prêt à lui-même intervenir de manière malhonnête pour obtenir cette ponette, ne se souciant guère de son statut et ne pensant qu'à la survie de son projet et de sa carrière. De plus, il avait tout ce qu'il lui fallait sous le sabot : une famille de gens talentueux n'ayant pas peur de se salir les pattes. Libérer la monstrueuse créature serait un bon moyen de l'obliger à rejoindre le cirque en tant que « monstre ». Alors il monta un coup avec les membres-fondateurs du cirque, il convenait d'être rapide avant que le bateau ne reparte en mer. Leur plan était simple et totalement improbable. S’étant renseignés auprès de la populace, ils avaient appris que le capitaine venait en personne avec quelques hommes à chaque arrêt ici pour ravitailler le rhum au dernier jour de leur escale.

Grâce au poney professionnel des infiltrations, ils entrèrent de nuit chez le marchand d'alcool. Tricky se cacha dans l'un des tonneaux de la commande (une fois celui-ci vidé et partiellement re remplit avec de l'eau pour que le porteur ne se doute de rien). L'attention des membres d'équipage et du capitaine serait ensuite attirée sur deux fronts qui arrêteraient leur carriole dans la plus petite des rues du chemin qu'ils allaient emprunter selon leurs informations. Le charlatan simula un accident, juste a la sortie de la ruelle et devant une foule de gens outrés et choqués. La carriole était arrêtée, quelques membres d'équipages partirent d’avant pour s'occuper de ce problème. Le ponette super balaise et pro en menace joua le transport de marchandise arrivant juste derrière dans une ruelle où il est impossible de passer et s’énerva contre ceux qui l'empêchaient de passer, ils l’ignorèrent alors elle se saisit d'un de leurs précieux tonneaux de rhum et menaça d'exploser ce dernier s'ils n’avançaient pas leur véhicule -ce qui était impossible-. Pauvres pirates accros à leur boisson magique. Ils n'y virent que du feu, même le capitaine geôlier se précipita pour la calmer. Tricky en profita pour sortir de son tonneau et en magicien expert des évasions sur scènes, il défit les serrures des fers de la Ponette zébrée et prit la fuite avec elle, qui n'avait aucun autre choix en étant si loin de chez elle, ne parlant ni la langue et avec ses monstrueux pirates qui la chercheraient.

L'histoire ne dit pas si tout se déroula parfaitement. Mais on dit que la zébrette fut une curiosité présentée seulement une fois par le cirque. Ensuite, quelques années plus tard, elle s'occupa de la gestion des comptes et ouvrit un stand de potion mystérieuse où elle œuvrait sous cape sans jamais montrer son crin. Entre temps, elle s'était unie à son sauveur qui lui avait réalisé à quel point la situation de la Zèbre était infâme. Capturée tandis, qu'elle récoltait des plantes pour la sorcière du village par ses poneys pirates perdus bien loin de chez eux, utilisée comme monnaye d'échange avec les zèbres de son village pour leur voler des ressources, elle ne fut cependant pas « restituée », l'échange étant juste qu'elle ne meurt pas. Ils l'avaient donc ensuite gardée durant le long trajet de retour. Une curiosité kidnappée sans plus trop savoir qu'en faire. Ne parlant pas la langue ou bien mal, n'ayant appris qu'auprès de ses ravisseurs durant plusieurs mois de mer. Un long trajet totalement dû à leur incompétence manifeste en mer. De leur union, il n'y eut qu'un poney. Celui-ci n'avait que peu de trait des Zèbres, son pelage fort sombre n'affichait qu'à qui y regardait de prêt différentes nuances zébrées. Sa marque de beauté était de forme atypique avec un remplissage de couleur tout aussi original, mais les gens prenaient ça pour la marque d'un artiste-peintre. Incapable de tromper sa femme et néanmoins désireux de faire perdurer son lignage malgré la stérilité de son enfant, ils convinrent d'un plan simple. Si on ne laisserait pas un hybride / semi-monstre adopter, Tricky simple licorne, malgré son âge, le pouvait. Il en profita au gré des voyages du cirque pour aller d'orphelinats en orphelinats et choisis la "perle rare" pour un magicien : c'était un poulain licorne albinos, ses yeux vermillons tranchaient avec son crin bleu clair et sa crinière blanche. Le magic vampire !

Il faut ainsi faire un grand bond dans le futur pour revoir les zébrures sur le pelage d'un poney de la famille Rain. Bien que ce ne fut que le résultat malencontreux d'une magie de bébé licorne totalement incontrôlable, certains pensèrent à tort que c'était le retour du gêne de l'ancêtre Zebré (ce qui était impossible puisque la famille descendait d'une adoption). Aucun même parmi les cousins Rain n'était au courant de l'adoption qui avait eu lieu plusieurs générations en arrière. Pas même chez les Rain du lignage de Tricky on n'évoqua le sujet après ladite adoption. Aussi pense-t-on encore que les zébrés peuvent avoir des enfants alors que ce n'est pas le cas. Quel poney est zébré ? Oui, bien sûr, il s’agira de Lunar, et pourquoi elle l'est ? Nous n'en sommes pas encore là ! Avez-vous entendu parler de Doughtiness Neighing Underain Rain ? Le premier clown magicien, certains pensent qu'il révolutionna la magie de spectacle à sa manière. De vrais experts vous diront qu'il s'inspira d'artistes n'ayant pas officié dans le monde du cirque. En tous les cas, il fut probablement le plus notoirement connu des Rain et cela ne remonte pas à très loin, car il s'agit du grand-père de Lunar Cuddles Rain. Il fut l'avant-dernier propriétaire du cirque familial. En vérité dans cette histoire, il n'y a pas grand besoin d'en parler outre mesure sinon qu'il avait deux fils, des jumeaux : Jackpot Rain et Swindle Rain. Les deux s’entraînaient dur pour devenir de bons magiciens ce pour prendre la place de leur paternel, mais il était si fantastiquement génial et si fabuleusement épatant, qu'ils semblaient bien peu à côté. Toutefois, jamais aucun d'eux ne le jalousa, au contraire, il était comme un point de mire, un objectif à atteindre. Un jour, tandis que Doug' présentait sont tout nouveau spectacle avec un numéro très dangereux d'évasion. À un niveau de représentation rarement atteint. Avec une bride magique sur la corne, le grand Doug' réussis, mais ne reparus jamais sur la scène : à l'intérieur des multiples couche de prison et de la cuve d'eau, il n'y avait plus aucun poney et jamais on ne le retrouva.

Supposé mort, certains disent qu'il avait commis un braquage de banque et que c'était pour échapper à la justice qu'il avait choisis de disparaître ainsi sur scène. Cependant, chez les Rains, ce fut la plus grande tragédie de leur histoire. La veuve pleurée comprit bien vite qu'il ne s'agissait pas d'un plan bien programmé. Ses enfants décidèrent d'enfin monter sur scène pour le remplacer dans une grande tournée d'hommage. Celle-ci rencontra un certain succès et les deux frangins étaient plus soudés que jamais. Mais leur mère ne supportant plus l'absence de son tendre époux se donna la mort en plein milieu de ladite tournée. Ce fut le coup de trop pour Swindle. Se retirant du cirque et abandonnant le spectacle. Il n’ira même pas à l'enterrement, disparaissant du jour au lendemain avec une simple lettre pour Jackpot.

Leur duo ne fonctionnait que parc-qu’ils était, chacun d'eux, très bon dans des domaines différents. L'un attirait et trompait le publique tandis que l'autre faisait fonctionner les mécanismes de scènes avec sa magie de manière discrète (et facilitée par l'allocution du premier des deux). Bref, Jackpot qui avait mieux tenu le décès de leur mère eut à vivre le départ soudain de son frère. Plus encore, tandis qu'il héritait en solitaire de la gestion du cirque sans y être préparé, il devait aussi abandonner une tournée chère à son cœur, car il n'était pas capable de faire un spectacle en solitaire. D'autant qu'il n'avait quasiment jamais utilisé sa magie sur scène. Déprimé, il donna toute son énergie restante, mais sombra petit à petit dans l'alcool. Sa dépendance fut financée par les revenus du cirque et les problèmes financiers s'accumulèrent rapidement. À ce moment, sa vision de son monde n'était plus que désespoir.

Durant cette lente et désastreuse descente aux enfers, Swindle partit loin, très loin de tout village où ils avaient pu passer dans toute l’existence du cirque. Ou alors vraiment dans les débuts, bien avant sa naissance. En pleine dépression, il trouva des poneys fort sympathique qui le soutinrent. Tandis que sa tristesse commençait à s’essouffler, il trouva un petit boulot d'assistant de fouilles et y rencontra une certaine Blushing Rockies. Sa patronne. Deux ans seulement suite à cette rencontre, naissaient une pouliche. La petite Lunar Cuddles Rain survint comme un signe du passé. De la grande époque des Rain, car quelques semaines après sa naissance, voilà qu'elle était marquée comme l'épouse du fondateur du cirque. Swindle et Blushing se mirent d'accord pour terminer un gros projet de fouille dans les montagnes qui durerait probablement plusieurs années et puis, Swindle retournerait à ses origines. Il irait au cirque soutenir son frère dont il n'avait plus de nouvelles (ni n'avait jusqu'alors essayé d'en donner d’ailleurs).

Bien qu'il tentât après la naissance de Lunar de se rattraper et de donner des nouvelles tout en demandant en retour, il fut bien contraint de voir que personne ne lui répondait. Son départ soudain expliquait probablement beaucoup à cette situation, mais il espérait toujours pouvoir tout arranger. Entre temps, il y avait l'éducation de son bout-chou à parfaire. Bien que ses rayures semblaient avoir mystérieusement disparues. En tant que signe du renouveau prochain du cirque et que tout s'arrangeait enfin, elle devait devenir une grande magicienne ! En hommage à leur ancêtre fondateur, ainsi qu'à tous les magiciens de la famille qui c'était succédé. Aussi, Lunar eut très tôt à-faire avec la magie du spectacle et la triche qu'elle implique, que ce soit en terme de manipulation orale, détournement d'attention, cacher des choses dans une tenue de scène ou dérober discrètement un objet pour mieux le replacer dans la crinière d'un ponney volontaire. Toutes ces choses n'ayant finalement pas grand-chose à voir avec la magie des licornes, sinon dans quelques tours plus compliqués. Elle ne prit donc pas non plus le chemin de l'école, son père avait acheté assez de livres pour s'aider dans son nouveau travail de père au foyer et professeur privé pour sa fille. Bercée des histoires de la famille Rain, elle n'entendit ainsi jamais parler d'amitié.

Ayant pris congé de son travail auprès de son épouse, Swindle s'occupait à plein temps avec sa fille, ce qui ne les empêchait pas d'aller voir « maman » sur le chantier de fouilles pour la chercher lorsque la journée se terminait. Pourtant et alors qu'elle n'était âgée que d'un peu plus de 5ans, tout bascula de nouveau chez les Rains. Comme frappées par le mauvais sort pour ses méfaits passés, les Rains allaient devoir encourir le deuil une nouvelle fois. En arrivant sur place et bien que le chantier était vide, sa mère était toujours plongée dans son travail, un moment de joie et après un câlin qui décoiffe pour sa fille chérie, le couple, c'était mis à discuter. Ils étaient dans une artère souterraine du chantier ou la ponette pensait avoir trouvé quelque-chose d'important concernant les traces d'un ancien sort invoquant ce qu'elle appelait alors des « tricornes ». Elle en montrait les possibles traces dans la pierre, mais certains des lampions lâchèrent, il n'en restait qu'un d'allumer, à peine suffisant pour continuer. La pouliche déclara alors « je cherchais des lampes ! » et toute excitée voilà qu'elle partait fouiner dans les affaires de chantier.

Elle en ramena d'ailleurs plusieurs dans un sac et les alluma, les déposant de sorte a ce que le couloir de la grotte rayonne d'un doux crépitement. Puis elle cria « Faisais pas des bêtises, je vais chercher d'autres ! » Ses parents eurent un petit ricanement attendri et se regardèrent comme au premier jour. Mais du coin de l’œil, donnant derrière eux, ils virent que les lumières allumées étaient... Des bâtons de dynamites. Le tout sonnait comme une mauvaise blague, mais la conclusion tragique ne fut pas moins impitoyable. La grotte s'effondra derrière la pouliche qui était sortie chercher d'autres lampes dans un sac qu'elle avait vus laissé hors du chantier en arrivant. Elle fut soufflée par le vent de l'explosion, écrasée au sol, elle releva un regard perdu vers là où étaient ses parents... Vers l'entrée bouchée à flanc de montagne.

« Papa.. Maman.. »

Le bruit de l'explosion avait alerté le village et des secours arrivèrent pour constater le drame et recueillir la pouliche orpheline. Et son autre drame n'arriva que trop vite, une semaine plus tard, son tuteur légal et parent le plus proche arrivât pour la récupérer, elle rencontrait ainsi son oncle Jackpot. « On ne prend rien, suit moi. » Avait-il simplement dit laissant derrière la maison de son frère et tout ce qu'elle contenait. La pouliche s’échappa dans la maison pour récupérer une vieille sacoche appartenant à son père et les deux livres principaux qui lui servaient pour ses cours. L'un d'eux, plus précieux que les autres comportait des annotations écrites par son papa, ainsi que son papi avant lui, et même un peu de son tonton !

Lui, le tonton, entre temps, il était devenu vulgaire pirate, comme un retour aux sources malvenu sur l'époque de l’ancêtre Zebrette et de son tortionnaire. Alcoolique et détruit par la vie, le capitaine Jack' avait laissé le cirque aux mains d'un cousin probablement plus habiles et joyeux que lui. Il était à dire qu'il en voulait beaucoup a sa nièce d'avoir tué son frère avant qu'ils ne puissent se revoir et se « réconcilier ». Cette mort avait sonné comme un glas de plus sur sa profonde dépression. Sa haine envers Lunar était immesurable. Et il le lui fit savoir en déchaînant sa colère lorsqu'il était saoul, ce qui revenait à dire tout le temps. De plus, la pouliche avait utiliser sa magie avant qu'il n'arrive la chercher, et comble de la malchance, un effet secondaire à celle-ci avait fait reparaitre les marques de zébrures déjà apparues sur son pelage quand elle n'était qu'un bébé a la magie incontrôlable. -il la considéra donc en tant qu'hybride-, bien qu'étant du même sang, cela lui permit des reproches et injures assez facile, lui bourrant le crâne à coup de « tu n'es qu'un monstre rayé et les monstres de ton espèce n'ont pas de sentiments, c'est pour ça que tu les as tués ! » et autres joyeusetés. Cela alors même que les rayures avaient disparues quelques jours après, mais rien d’étonnant, Jackpot n'en avait finalement cure des rayures et souhait juste passer sa rage et sa tristesse. La pouliche tenta une fugue, puis deux et il décida de lui mettre des fers et chaînes pour qu'elle ne puisse pas se déplacer suffisamment librement lorsque le navire était à quai. Pourtant, savez-vous comment Jackpot tenait ? Et bien, c'était pour la fille de son frère, aussi incohérent que se puisse paraître.

Aussi et bien que se comportant comme le monstre qu'il reprochait à Lunar d'être, jamais sa nièce ne manqua de quoi manger, et elle était finalement après ses corvées, libres de vaquer a des occupations plus personnelles à bord. Très tôt, elle exécuta même des spectacles pour l'équipage. Ne grandissant pas au contact direct d'étrangers, Lunar prit une certaine confiance et un comportement proche des gens qu'elle côtoyait, mais ne prit aucune expérience sociale en dehors de ce petit cercle extrêmement restreint.

Oh bien sur ses spectacles ne volaient pas haut, surtout que sa magie lorsqu'elle l'utilisait, faisait littéralement n'importe quoi « de mon sac magique va sortir un LAPIN ! » Disait-elle parfois et le sort se concluait tantôt par l'explosion d'une innocente peluche de lapin ou par la disparition des sacoches ou carrément l’enflammement de celles-ci. Parfois même, au lieu de faire apparaître le lapin en peluche, la pouliche se retrouvait le crin de toutes les couleurs pour plusieurs jours ou avec des rayures sur le corps l'apparentant faussement à un zèbre. Bref, elle n'était pas plus douée qu'un débutant sans professeur en vraie magie, mais ne se débrouillait pas si mal dans ce qui n'en nécessitait pas. Ne se décourageant pas. Les années passèrent et le petit équipage se mit à agir parfois pour le seul appât du gain en oubliant leur statut de forbans, conduisant simplement des passagers d'un endroit à un autre. Lunar avait alors presque 15ans. Et c'était un de ses premiers spectacles face à un public d’étrangers. Ayant l'habitude d'exécuter des spectacles foireux sur sa minie scène en bois qu'elle avait elle-même fabriquer, un endroit ou elle se sentait en sécurité même face aux gens. Cependant, en dehors de celle-ci, elle se réfugiait à fond de cale presque pressée de se refaire attacher pour éviter qu'elle ne fasse des bêtises.

Enfin bref, personne à bord ne pensait qu'elle réussirait et d'ailleurs ce fut quasiment vrai. Sinon que ce jour à bord, il y avait cette ponette qui se faisait transporté au retour de la terre des hippogriffes. Lunar avait tout rater et la nuit commençait a tomber, le public se moquait ouvertement profitant du divertissement au sens stricte du terme. Mais à tout cœur vaillant, rien d'impossible. « Voilà le plus fabuleux tour de ma grande magie ! » déclarait-elle sans perdre consistance. Ce qui bien entendu fit éclater de rire un ou deux poneys, mais surtout, qui fit réagir cette ponette du public « ta grande et puissante magie de divertissement ? » « EXACTEMENT » s'exclama alors Lunar, qui avait enfin quelqu'un qui y croyait en face ! Et elle exécuta son tour consistant à transformer de vulgaires huîtres en feu d'artifices et, croyez le ou pas, son tour de passe-passe combiné à de la vraie magie fonctionna sans peine ! Bon ok ca paraît un peu nul, mais c'était son premier sort qui se déroulait comme prévu ! Et la plus éblouie à bord, c’était donc peut-être bien la magicienne elle-même.

Remarquez, son oncle aussi l'était un peu, constatant que la pouliche pourrait peut-être enfin se rendre utile lorsqu'ils seraient à quai. Elle attirerait l'attention des riverains et récolterait quelques deniers tandis qu'eux pilleraient ce qu'ils pouvaient comme à leur habitude. En plus, ça lui permettrait de changer cette horrible habitude que d'attacher sa nièce... Ouai, il était peut-être temps de changer, de relever la tête songeait Jackpot. Ils déposèrent leurs passagers et reprirent la mer pour rejoindre une petite ville côtière non loin de là. Sur cette ville sans défense, il mettrait à l'essai les compétences de sa nièce. Si lui y voyait son intérêt financier à court terme et celui de reconstruire quelque chose de positif commençant enfin à sortir de sa dépression, Lunar y vit une possibilité nouvelle de pouvoir fuguer. Pour une fois, elle n'aurait ni les chaînes, ni le fer alourdit qu'on lui mettait, plus discret, lorsqu'il y avait des passagers et l'empêchait de courir ou de sauter... Et le navire serait à quai donc, c'était, sa chance ! Ce serait sa grande évasion ! Sans aucun artifice ou presque...

Ils étaient arrivés sur les coup de midis, ne nombreux poneys mangeaient et le boulot de la ponette était d'attirer les gens du marché à regarder vers elle, amasser une foule importante de gens qui permettrait à l'équipage de revenir du braquage de caisse d'un commerçant quelconque et se fondre dans la foule s'ils étaient pourchassés. Biensur, la ponette ne pouvait être laissée seule pour ce premier essai, ne fut-ce que pour la surveiller. Aussi était resté avec elle un membre d'équipage.

« La grande évasion » se répétait-elle dans sa tête en boucle, mais a un moment elle le marmonna et le moussaillon la regarda bizarrement « non rien laisse tomber, je suis concentrée, tu sais, c'est ma première fois ! » Elle lui lançait d’ailleurs un drôle de regard du genre charmeur ce qui devait le mettre mal à l'aise et le faire oublier ce qu'elle venait de dire. Ce qui fonctionna. Le moussaillon installa sa scène à un endroit central, Lunar avait pris sa sacoche contenant ses deux bouquins, mais aussi un vieux chapeau de corsaire de son oncle « et regarde ! » Fit elle simplement en écrasant le chapeau sur le museau du poney pour lui cacher la vue, mais aussi l'empêcher de crier, parc que le cercle de cuir (le galon) encerclant la calotte avait été remplacée par un anneau de fer qui se resserra quand le sommet du chapeau, c’était déchiré. Elle avait pensé cette évasion un millier de fois, lâcher un « tchao ! » ou « a la revoyure ? » Mais en courant elle cria juste « debiiiiiiiile » ouai, c'était moins stylé que prévu, mais elle s'en foutait royalement. Aujourd'hui, elle gagnait sa liberté. Et demain, elle serait la magicienne de spectacle que son père voulait qu'elle devienne.

La gare ! C'était son objectif ? La carte des bords de mer à bord du navire indiquait aussi les villes et les éléments importants de chacune d'elles, et pour les ville comme Cliff City, il indiquait leur existence et positionnement des gares. Bien que grande ville, elle trouva facilement ce point important et s'y engouffra, un train venait d'entrer en gare, parfait ! La magicienne percuta quelqu'un, trop empressée, et manqua de perdre un de ses deux livres auxquels elle tenait bien trop pour les abandonner. Voulant s'excuser après l'avoir sauvé d'une chute sur les rails, elle se retourna, mais vis au loin sur le quai le visage plus en colère que jamais de son tuteur. Alors, elle rentra dans le train qui c’était arrêter et dont était descendue la ponette percutée. Il allait démarrer vite puisque c'était un arrêt sur un patelin. Les portes se fermèrent, elle était sauvée.

Son périple ne faisait cependant que commencer, puisqu'elle était libre et sur terre pour la première fois depuis longtemps. Elle ne pus que répliquer ce qu'elle avait appris à bord du bateau pour s'en sortir : à majorité de vol, de mensonge et d'arnaque en tout genre, mêlant le tout à quelques scènes ou elle essayait de mettre en pratique les sortilèges et tours de passe-passe de ses bouquins. Rien n'y faisait, la partie magique continuait de pêcher. Mais au moins, elle devint assez bonne en vol à la tire et manipulation de masse, surtout avait-elle remarqué, lorsqu'elle chantait. Charlatane pas forcément douée, elle terminera sa carrière après environ un an, en essayant d'arnaquer un village dans le désert à la frontière de l'Eternal Magic Kingdom, en leur vendant un super sortilège dansant permettant de faire tomber la pluie. Un bon bulletin météo intercepté lui avait permis de mener à bien ce plan et d'obtenir les deniers de la populace naïve et désespérée puis-qu’après représentation il s'était mis à pleuvoir, comme l'avait prévu le bulletin.

Bien qu'ayant vite quitté le comté, elle se fera rattraper par la justice et juger. Manipulatrice, mais surtout excessivement timide hors d'une scène et ayant un passé assez attendrissant pour un juge, la ponette passera pour une créature si fragile et pitoyable qu'elle sera finalement condamnée par la justice de Twilight à 2mois de classe de redressement dans l'école de l'amitié. En plus bien entendu de rembourser les poney escroqués jusqu'au dernier sou. Un jugement jugé trop clément par les villageois escroqués. Un jugement surtout que Lunar ne comprit pas, une farfelue ailée lui avait bien parler d'amitié une fois, lorsqu'elle avait discuté avec dans son premier train... Mais, une école ? C'était encore plus inconnu pour la ponette. En dehors de son année solitaire, de sa vie enchaînée sur le navire de son oncle alterné de spectacles et d'entrainements magique ou de ses premières années avec école à la maison, et bien, elle n'avait jamais vraiment rencontré l'amitié. La tâche s’annonçait donc terriblement compliquée.

Cependant, ca se passa mieux qu'elle n'aurait cru. Elle ne se fit pas d'amis, mais pourtant, la Ponette apprécia ce rythme de vie et réalisa qu'elle pouvait peut-être s'améliorer en magie en rejoignant une école. Si tant était qu'on l’acceptait. Sur l'année de ses 17ans elle fit des sabots et des pattes (des pieds et des mains) pour rejoindre l'académie de magie de Canterlot. Et elle y parvint, en septembre. Ce moment valut même une petite chanson, mais c'est une autre histoire. En tous les cas, Lunar était heureuse d'enfin avoir l'opportunité de progresser dans la promesse faite à son père d'être la plus grande magicienne de spectacle du royaume et de tout Equestria ! L'année est en cours et tire même sur sa dernière moitié bien avancée. Lunar à aujourd'hui 18ans (premier rp).